Les Bambous Enfants du Mékong sont des jeunes célibataires ou mariés, âgés de 20 à 35 ans. En césure professionnelle ou étudiante, ils s’engagent pour une mission humanitaire – sous contrat VSI – d’un an au service des actions d’Enfants du Mékong en Asie du Sud-Est.
Vous êtes une paroisse, une aumônerie, un foyer, une école… Enfants du Mékong vous propose de rencontrer d’anciens volontaires de retour de mission qui […]
On ne connaît pas un pays, un peuple ou une personne tant que l’on ne connaît pas ses problèmes » dit le Père Ceyrac. Dans cet esprit, le Bambou vit au cœur des problèmes quotidiens des familles, des enfants, des responsables de programmes, des staffs d’Enfants du Mékong. Ses conditions de vie sont simples mais justes et permettent la rencontre avec ceux auprès desquels il est appelé à servir.
Non. Les volontaires peuvent émettre des choix ou des désirs, mais ils ne postulent pas pour une mission précise. Le choix de la mission sera fait en fonction du candidat, de ses compétences et/ou de son appétence pour un type mission (gestion, éducation…) et de son adéquation avec la mission sur le terrain.
Avoir entre 20 et 35 ans. La fourchette d’âge n’est pas figée dans l’absolu, mais nous tenons à ce que les promotions de volontaires soient relativement homogènes.
Avoir un bac +3 minimum. Rigueur, qualités rédactionnelles, sens de l’organisation sont des qualités très importantes en mission.
Aimer l’aventure et ne pas avoir peur de ‘sortir de sa zone de confort’.
En césure d’études, jeune diplômé, ou année sabbatique professionnelle.
Un bon équilibre psychologique et une bonne santé.
Comprendre et parler un anglais correct.
Être en phase avec les fondamentaux et l’état d’esprit d’Enfants du Mékong. Surtout concernant les questions sur sa vision de la personne humaine et de la vie.
EdM ne propose que très rarement des missions inférieures à un an. Il est arrivé parfois que notre action sur le terrain nécessite que nous ayons besoin de renforts ponctuels (mission d’audit post typhon en 2013), départ inopiné d’un volontaire en cours d’année… Le mieux est donc d’appeler au siège pour discuter des opportunités éventuelles.
Les volontaires perçoivent une indemnité de subsistance leur permettant de vivre décemment en mission. Cette indemnité permet de vivre au jour le jour, de se nourrir, se déplacer, se loger. L’objectif est que les volontaires n’aient pas à dépenser de leurs deniers personnels pendant l’année, sauf pour des extras.
Oui, c’est toujours sympa que sa famille se rende compte de votre mission (bien pour le retour) mais il ne faut pas se transformer en tour-opérateur pour ses amis. EdM demande à ce que les visites ne se fassent pas les 6 premiers mois de la mission.
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